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2. d'évaluer les impacts environnementaux dans le contexte d'acteurs qui ont le moins connaissance du matériel sous-jacent : les utilisateurs et les éditeurs de produit SaaS, souvent dépendants d'acteurs tiers, fournisseurs de Cloud ou de services avancés (authentification, stockage, paiement, etc.)

Pour la seconde raison, une approche d'évaluation "bottom-up", qui consiste à collecter l'inventaire réel de l'infrastructure qui porte le service, a le moins de chances d'aboutir.

Une approche "top-down", consistant en l'obtention de facteurs d'impacts statistiques, est intéressante dans ce cas.

Mais comment obtenir ces facteurs d'impacts ?

Lors d'une bi-mensuelle de l'association @boavizta , Eric Fourboul présentait les travaux menés chez #Hubblo à la suite d'une mission pour Rennes Ville et Métropole, sur l'obtention de facteurs monétaires basés sur les données financières et de consommation d'énergie des grands acteurs de #IaaS et de #SaaS : les #REE

@bpetit Ce qui serait intéressant pour une direction qui doit choisir entre un service SaaS ou "on premise", ce serait d'avoir une comparaison entre les consos énergétiques des deux. Intuitivement, je dirais que la voie Saas est probablement moins énergivore, mais je n'en sais rien, au fond.

@jlpiraux rapporté par utilisateur, c'est possible, mais globalement tout est une question de périmètre, donc une comparaison entre deux scénarii avec des niveaux de responsabilité très différents... c'est compliqué (et surement que l'énergie ne devrait pas être le seul critère à prendre en compte)